octobre 29, 2015


Je sais que tu aimes quand je te décortique les réseaux sociaux, et même que, sans moi tu serais foutrement paumé(e) (oui des hommes me lisent). Alors, je t'ai aidé à comprendre pourquoi toi non plus tu n'aimais pas Facebook, je t'ai dévoilé la face cachée du très masculin réseau Hellocoton, et enfin je t'ai tout appris sur Twitter.

Mais alors? Et Instagram? On a rien dit sur lui...c'est qui d'abord?
Instagram c'est le réseau social sur lequel tu partages tes photos de manière instantanée, à l'aide de ton smartphone (tu peux aussi le faire sans smartphone mais il faut que j'explique et là j'ai pas envie...mais je peux tout te dire contre quelques Ferrero Rochers).
Mouhihi je trouve cette image très drôle (oui j'ai un humour de merde) (et oui c'est moi qui ait réalisé ce superbe montage)


Mise en situation : Je suis en train de manger une frite.
Ni une ni deux, j'enfourche mon téléphone fut-fut, je photographie la frite, je mets un filtre (tiens? si on enlève un "l" à filtre et qu'on met le "r" entre le "f" et le "i"...ça fait frite. Coïncidence? Je ne pense pas) dessus pour la rendre plus glamour et moins grasse, j'écris
Je mange une frite! #instafrite #frite #miam sous la photo et j'envoie ça à la terre entière!!!!! (ou à mes 30 abonnés -_-)

Voilà le principe, donc maintenant il faut que je t'avoue un truc :

octobre 26, 2015


Ici je te parle régulièrement de mes enfants, de moi, et d'autres trucs tout à fait sans intérêt mais que tu viens quand même lire (merci à toi). Mais je ne t'ai pas vraiment parlé de Pindoulf mon grand petit monsieur, de 3 ans et demi déjà.

Lui, c'est mon premier enfant, celui qui a fait de moi une maman, et qui m'a fait réaliser que ce nouveau rôle me convenait pas mal, alors que je ne l'aurais vraiment pas soupçonné.
Lui, c'est un peu ce premier bébé qui te donne très vite envie d'en faire un autre, celui qui te fait dire "Ah! Mais c'est coooooool d'être parent!".
Je n'exagère pas, c'est vrai, il a fait ses nuits assez rapidement, vers 3 mois, et de grosses nuits (plus de 12 heures d'affilées), il mangeait bien, grandissait bien, était sage, calme, souriant, râlait très peu.

T'inquiète pas, je ne te dirais pas ce mensonge que plein d'autres parents ont dû déjà te sortir "C'est que du bonheur!", parce que ce n'est pas vrai, ce n'était pas QUE du bonheur (même si mon Pindoulf était quand même bien placé pour être sacré bébé de l'année 2012 :p), ça reste quand même une nouvelle organisation, une nouvelle vie que personne n'est réellement préparé à affronter.

octobre 11, 2015


(Billet écrit au mois de juin! Je commence des brouillons et au fur et à mesure ils descendent dans la liste, et se font oublier... Alors je dépoussière tout ça, hop!)

J'ai mis "di mierda" parce que ça faisait plus joli, et sinon après on va dire que je suis vulgaire. Tout est toujours plus joli quand on le dit en italien. J'aurais pu aussi le dire en Roumain : "de rahat" ou en basque...d'ailleurs en basque Google Traduction me dit qu'une "journée de merde" ça se dit "mobilizazio eguna" :
Pourtant si j'appuies sur les petites flêches pour traduire dans l'autre sens...
À méditer, merci Google.


Il y a des journées parfois où tout fout le camp, où quoi qu'on fasse, on rate, et tout n'est qu'un enchaînement de mauvaises décisions... C'est comme ça, ça arrive, et c'était mardi dernier (enfin...un mardi du mois de juin quoi ^^)...


En fait c'était un peu plus pour l'Homme cette journée moisie alors je vais tout de suite me fendre d'un "AH! AH! AH!", comme ça c'est fait.